BASF s’engage à réduire considérablement les émissions de carbone

Dans le cadre de sa feuille de route agroécologique à horizon 2030, BASF Division Agro s’est fixé comme objectif d’aider les agriculteurs à réduire leurs émissions de CO2 de 30 % par tonne de récolte produite.

BASF décrypte le marché du carbone.

Certification du carbone : Encore une usine à gaz ?

Comment évaluer l'empreinte carbone d'une exploitation ? De nombreux facteurs sont à prendre en considération dans ce calcul puisqu'ils influent directement sur le cycle du carbone. La méthode d'évaluation permettant de calculer la quantité de carbone séquestrée varie selon le projet transmis, c'est pourquoi un cadre législatif ainsi qu'une certification ont été mis en place à cet effet. L'Europe envisage, quant à elle, de regrouper l'ensemble des modèles créés par les pays membres de l'UE afin d'appliquer un unique modèle.

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La PAC va-t-elle complexifier le marché du carbone ?

Un cadre réglementaire européen est prochainement attendu afin de certifier des labels bas carbone. Jusqu'à présent privé, le marché du crédit carbone pourrait progressivement se voir octroyer une partie publique. Des aides majorées pourraient être imaginées lorsqu'une certification bas carbone est délivrée à une exploitation. La synergie potentielle entre le privé et le public serait alors complémentaire et ne viendrait pas altérer les dynamiques agricoles actuelles.

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Comment financer la transition bas carbone ?

Les crédits carbone représentent de réelles opportunités pour les agriculteurs. Cependant, deux questions demeurent concernant la transition bas carbone : la relocalisation des finances carbone en France au profit des agriculteurs et du territoire ; des crédits plus coûteux en France qu'à l'étranger.

Pour accélérer le financement de la transition bas carbone, les divers acteurs devront se réunir pour agir collectivement et ainsi apporter des réponses aux attentes des investisseurs : transparence, traçabilité et engagement.

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Comment maintenir la confiance autour des crédits carbone ?

Chuck De Liedekerke, Directeur Général Soil Capital, apporte son éclairage sur la solidité des crédits carbone reposant sur 5 grands principes : la réalité scientifique, la vérifiabilité, l'additionalité, la permanence du carbone stocké et l'unicité.

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Top 3 des pratiques pour séquestrer le carbone

Pour optimiser la séquestration du carbone dans les sols, les champignons humidificateurs sont à privilégier. Ils sont en mesure de stocker davantage de carbone sous forme d'humus comparativement aux bactéries humidificatrices. Il est donc important d'apporter des oligo-éléments ainsi que des engrais azotés organiques dans les sols pour alimenter le développement des champignons.

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Le maïs est-il la meilleure culture pour la planète ?

Francis Bucaille, agriculteur, explique que le maïs est une plante permettant de répondre aux enjeux climatiques actuels. En effet, elle est en mesure de capter le carbone atmosphérique pour le transformer en biomasse et ainsi réduire les gaz à effet de serre.

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Stockage du carbone : Quel impact sur la valorisation de mon patrimoine ?

Les nouvelles méthodes de captation du carbone entraînent des problématiques entre les propriétaires bailleurs et les exploitants. Dans les années à venir, Patrice Le Bihan, indique que des sujets complémentaires viendront tendre les relations entre propriétaires bailleurs et exploitants. De ce fait, des dispositions législatives devront rapidement être énoncées afin de répondre aux problématiques actuelles ou à venir.

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Réduire sa facture d'engrais en captant du carbone, c'est possible ?

En effectuant un travail superficiel du sol sans jamais réaliser de décompactage, il est possible de conserver la matière organique en surface des sols et ainsi éviter la volatilisation du carbone. Avec un sol plus vivant et fertile, les bactéries fixatrices d'azote permettent de réduire l'apport d'engrais minéraux.

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Bilan carbone : Faut-il tout changer sur sa ferme ?

Pour améliorer son bilan carbone, l'agriculteur doit actionner deux leviers principaux : limiter ses émissions de gaz à effet de serre et stocker du carbone dans les sols. Morgan Henaff d'Agrosolutions détaille les pratiques agricoles à mettre en place.

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Le prix du carbone est-il bradé ?

Selon l'APAD (Association pour la Promotion d'une Agriculture Durable), le positionnement tarifaire du crédit carbone devrait être 2 fois supérieur au prix actuel du marché. Cette valorisation s'explique par une plus-value environnementale plus importante, due à la localisation du carbone en France mais également à l'acte de production permettant d'améliorer la biodiversité des sols et la qualité de l'eau.

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Des solutions prometteuses pour une décarbonation de la filière lait ?

Pour accélérer sa décarbonation, la filière du lait s'est fixé comme objectifs à horizon 2025 d'engager 50% des éleveurs dans sa démarche bas carbone ou encore de réduire de 20% la réduction de ses gaz à effet de serre (GES). Jennifer Huet, Directrice environnement du CNIEL (Centre National Interprofessionnel de l’Economie Laitière) apporte son décryptage sur les leviers à mettre en œuvre pour y parvenir.

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Bientôt la tonne de carbone à 150 euros ?

Estimer le prix d'une tonne de carbone n'est pas simple puisque celui-ci dépend de sa localisation, de sa labellisation ainsi que de la nature de ses activités. Aujourd'hui, des sociétés font l'interface entre les agriculteurs et les entreprises dans le but de rehausser le seuil de rémunération de la tonne de carbone. Les institutionnels estiment, quant à eux, que le prix du carbone sera en hausse d'ici 2025 à 2030.

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Crédits carbone : La certification européenne va-t-elle rebattre les cartes ?

Dès 2024, l'Union Européenne mettra en place un cadre réglementaire au sujet de la captation carbone. Ce dernier aura pour objectifs d'encourager les acteurs du marché à se développer mais également de structurer la filière. L'enjeu sera de trouver une cohésion européenne autour de ce sujet.

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Pourquoi l'agriculture de conservation stocke plus de carbone à l'hectare ?

Dans le cadre du projet bas carbone, un diagnostic a été réalisé sur un total de 240 fermes françaises. Ce dernier a permis de mettre en lumière, qu'en moyenne, les agriculteurs stockent 1,5 tonne de carbone par hectare et par an. Ce constat met également en exergue l'efficacité de l'agriculture de conservation des sols pour le stockage du carbone.

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Le biochar : L'avenir de la captation du carbone ?

Considéré comme un produit prometteur dans la séquestration du carbone dans les sols, le Biochar est un produit pyrolysé qui peut être issue de bois ou de matières agricoles. Il a été reconnu comme une technologie à émissions négatives par le GIEC (Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat) en 2018 puis comme un fertilisant par l'Union européenne en 2022.

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Tout ce qu'il faut savoir sur le label bas carbone !

Créé en 2019 et piloté par le Ministère de la Transition Écologique, le label bas carbone a pour vocation de certifier des projets de réduction de gaz à effet de serre (GES) et de séquestration du carbone. Aujourd'hui, six méthodes permettent d'obtenir cette certification dans le secteur de l'agriculture.

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De nouveaux leviers pour améliorer son bilan carbone ?

Deux leviers principaux sont actuellement développés par les équipes BASF afin de diminuer considérablement les émissions de gaz à effet de serre (GES). Un objectif d'ici 2030 : réduire de 30% les émissions de CO2 par tonne de récolte produite pour les principales grandes cultures dans le monde.

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Pour aller plus loin

BASF est partenaire de Transition, le magazine de l’agroécologie réalisé par TV-Agri.

La préservation de la biodiversité est de plus en plus prise en compte par les agriculteurs et viticulteurs.

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