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Mouches, teignes : quels sont les autres ravageurs des fruits à noyau ?

Mouches de la cerise, mouche de l’olive, mouche méditerranéenne des fruits, teigne de l’olivier, les ravageurs dans les vergers sont nombreux. Trouvez toutes les informations sur leur biologie, les dégâts qu'ils occasionnent et les moyens à votre disposition pour protéger vos arbres fruitiers.

Carte d'identité de la mouche des cerises

Mouches de la cerise, mouche de l’olive, mouche méditerranéenne des fruits, teigne de l’olivier, les ravageurs dans les vergers sont nombreux. Trouvez toutes les informations sur leur biologie, les dégâts qu'ils occasionnent et les moyens à votre disposition pour protéger vos arbres fruitiers.

Larve : Rhagoletis cerasi : la larve de ce ravageur se présente sous la forme d’un asticot blanc. Elle mesure de 4 à 6 mm de long à son plein développement.

Drosophila suzukii : les larves sont plus petites, elles mesurent de 0,5 à 3,5 mm et sont de couleur blanchâtre. Elles possèdent des stigmates postérieurs prolongeant l’abdomen et formant une excroissance visible. On peut également voir deux crochets buccaux de couleur noire.

Adulte : Rhagoletis cerasi : la mouche de la cerise adulte mesure de 3 à 5 mm de long. Son corps noir possède une tâche jaune caractéristique sur le dos. Ses ailes sont transparentes avec des bandes longitudinales foncées.

Drosophila suzukii : ce ravageur mesure entre 2,6 et 3,4 mm. La femelle est plus grande que le mâle. Ce dernier possède une tâche noire sur chacune des ailes. Il dispose également de deux séries de soies ou « peignes » sur les tarses antérieurs. La femelle présente un ovipositeur de grande taille et denté et n’a pas de soies sur les tarses.

Pontes :

Rhagoletis cerasi : la ponte commence 1 à 2 semaines après les premiers vols. Les femelles pondent de 50 à 80 œufs qu’elles introduisent à l’aide de leur tarière sous l’épiderme de la cerise en cours de formation.

Drosophila suzukii : les premières pontes ont lieu au printemps, dès l’apparition des premiers fruits. Les femelles peuvent pondre 1 à 2 jours après leur émergence. Elles pondent 7 à 16 œufs par jour à raison de 1 à 3 œufs par fruit. Une femelle pondrait en moyenne 380 œufs durant sa vie.

Larves :

Rhagoletis cerasi : elles éclosent 6 à 12 jours après la ponte. Elles se nourrissent de la pulpe de la cerise et s’y développent durant 3 à 4 semaines. Elles quittent ensuite le fruit en se laissant tomber au sol. On compte une seule larve par fruit, contrairement à la mouche Drosophila suzukii. Elle est également plus dodue, moins mobile et se développe exclusivement autour du noyau.

Drosophila suzukii : Les œufs éclosent au bout de 1 à 3 jours. Puis, trois stades larvaires se succèdent pendant 3 à 13 jours. Très mobiles, les larves se développent dans l’épaisseur de toute la chair du fruit.

Hivernation / pupaison :

Rhagoletis cerasi : une fois au sol, les asticots s’enfoncent de quelques centimètres et se transforment en pupes pour passer l’hiver.

Drosophila suzukii : à la fin du dernier stade larvaire, la pupaison s’effectue pour une durée de 3 à 15 jours. La pupe peut être formée à l’intérieur ou à l’extérieur du fruit.

Apparition des adultes :

Rhagoletis cerasi : les mouches de la cerise émergent du sol et volent dans les vergers courant avril et jusqu’à mi-juillet.

Drosophila suzukii : les individus adultes déchirent la pupe pour se libérer, après 3 à 15 jours de pupaison. Ils ont une durée de vie de 3 à 9 semaines, bien qu’il puisse vivre plus longtemps en période hivernale.

La lutte passe par un suivi des vols afin d’identifier les dates d’émergence des adultes puis par la mise en place de stratégies de traitement en fonction des variétés, du déroulement des vols et de la présence d’une et des deux mouches : lutte préventive avec des produits « adulticides » et lutte curative avec des produits « ovicides-larvicides ».

Carte d'identité de la mouche méditerranéenne

La mouche méditerranéenne des fruits, Ceratitis capitata, touche, comme son nom l’indique, les régions méridionales d’Europe. Elle provoque notamment des dégâts sur pêches, pommes, figues, kaki et agrumes.

Larve

En plein développement, la larve de la mouche méditerranéenne mesure de 7 à 8 mm de long. De couleur blanche, elle présente des crochets buccaux noirâtres. Une fois son développement terminé, elle quitte le fruit et se nymphose dans le sol.

Adulte

La mouche adulte mesure environ 5mm. Ce ravageur des fruits possède une tête plutôt grosse et son thorax gris argenté est parsemé de nombreuses tâches noires. Sur ses ailes, on peut voir trois bandes orangées : une longitudinale et deux transversales. Le corps et les pattes sont jaunes. La femelle présente un ovipositeur épais qui lui permet d’insérer des œufs sous la peau des fruits. Sur la tête du mâle apparait une paire d'appendices spatulés avec des pointes acérées.

  • Hivernation : La mouche méditerranéenne hiverne sous forme de pupes dans les premiers centimètres du sol des vergers ou dans les environnements périurbains où les températures leur permettent de survivre. L’hivernation de ce ravageur du fruit peut se faire à l’état d’adulte lorsque les températures sont douces (en Corse par exemple). Les adultes apparaissent vers la mi-mai.
  • Pontes : En moyenne, les femelles ont une fécondité de 300 à 400 œufs pour une ponte de 20 œufs par jour, échelonnée sur plusieurs semaines à différents degrés de maturité des fruits. Elles sont fécondables quelques jours après leur sortie et pondent les œufs par paquet de 2 à 6 sous la peau des fruits.
  • Larves : Elles se développement en 9 à 15 jours à l’intérieur des fruits, provoquant leur chute. Les pupes se forment alors à la surface du sol ou dans les fruits en décomposition. Les adultes de la génération suivante apparaissent.
  • Apparition des adultes : Au bout de 10 à 12 jours en températures estivales, 18 à 20 jours en début de l’automne.

  • 3 à 5 générations de mouche méditerranéenne des fruits par an dans le Languedoc Roussillon.
  • Cycle de vie fortement dépendant des températures. Il est de 20 jours pour une température de 26°C. Le seuil de développement est de 13,5°C.

Dans le Sud de la France, on trouve la mouche méditerranéenne sur les pêches, les pommes, les figues et les kakis (et sur agrumes en Corse), sur lesquels elle provoque d’importants dégâts.

En cas de fortes attaques, les larves de ce ravageur peuvent attaquer le fruit dès la 3ème semaine avant la récolte. Sur pêche, la ponte peut commencer dès la 6ième semaine avant récolte.

Les larves présentes dans le fruit (une dizaine par fruit), font apparaître une tache marron à sa surface qui s’étend rapidement autour du point de piqure. Des nécroses se forment, la pulpe devient molle et la maturation s’accélère : le fruit n’est plus consommable et chute. Une fois le fruit au sol, la croissance larvaire continue.

Le piégeage précoce permet de détecter l’émergence des adultes et d’intervenir si nécessaire avec des insecticides adulticides. La mise en place d’un piégeage de masse est également pratiquée.

Carte d'identité de la mouche du brou du noyer

La mouche du brou du noyer, Rhagoletis completa, est un ravageur particulièrement nuisible qui peut réduire à néant la production de l’année. Facilement identifiables, les mouches de brou du noyer adultes portent un point jaune caractéristique du genre Rhagoletis en bas du thorax. Leurs ailes transparentes sont marquées par trois traits noirs épais, dont le dernier est prolongé en forme de « L ». Ses yeux sont bleus verts. Elles mesurent 4 à 8 mm.

  • Adultes : Les adultes émergent du sol de début juillet à fin août, avec un pic d’émergence situé fin juillet/début août. Leur durée de vie peut aller jusqu’à 40 jours en conditions naturelles. L’accouplement a lieu 6 à 8 jours après émergence de l’insecte.
  • Pontes : Les femelles commencent à pondre 1 à 2 semaines après l’accouplement. Chaque femelle pond au total 300 à 400 œufs, par groupe d’environ 15 œufs par brou. Il n’y a généralement qu’une poche d’œufs par fruit, car la femelle marque l’extérieur du brou avec une phéromone. Chaque femelle peut parasiter jusqu’à une vingtaine de fruits.
  • Larve : Les œufs pondus éclosent en 4 à 7 jours en fonction des conditions climatiques. Les jeunes larves de la mouche du brou du noyer commencent à s'alimenter du brou de la noix. Elles sont souvent groupées à l’intérieur du brou, qui, par la suite noircit et se décompose. C’est à ce moment là que le ravageur cause le plus de dégâts.
  • Nymphose : Après 3 à 5 semaines, les larves ont atteint leur maturité́. Elles se laissent tomber au sol, ou tombent avec le fruit, s’enterrent de quelques centimètres et se transforment en pupes. La nymphose a lieu dans le sol sous la plante hôte : c'est le stade de conservation habituel. L’été́ suivant, la majorité́ des adultes émergent du sol et répètent ce cycle. Une partie des pupes passent une ou deux saisons en diapause.

La mouche du brou du noyer n’entraîne pas de nuisance à l’arbre mais peut fortement toucher la production de l’année. En verger non ou mal protégé́, on a pu observer jusqu’à 80 % de dégâts en l’absence de traitement. Lorsqu’elle est présente (premiers dégâts visibles), sa population s’intensifie rapidement et provoque des dégâts très importants sur deux à trois ans.

  • Attaque précoce (mi-août) : la noix piquée chutera avant la récolte.
  • Attaque tardive : le brou détérioré́ laisse des marques noires sur la coque de la noix. La noix colorée est dépréciée et ne sera pas vendue en coque. Le cerneau issu des noix ne pourra être vendu en qualité́ extra. Il sera déprécié́ au moins en partie.

  • Piégeage : Celui-ci est indispensable pour détecter l’émergence des adultes dans le verger. L’adulte est capturé en vol par un piège qui se présente sous la forme d’une plaque souple de couleur jaune pour attirer l’insecte et le capturer. L’ajout d’un attractif alimentaire de type carbonate d’ammonium : augmente le nombre de prises.
  • Protection insecticide : la lutte contre la mouche du brou du noyer avec des produits phytosanitaires est efficace et doit être raisonnée grâce au suivi de maturité des femelles. En disséquant les femelles, il est possible d’identifier la présence d’œufs et ainsi de déterminer la date de ponte. Cela permet de bien positionner le premier traitement. À partir de la première apparition d’œufs découverts dans la femelle, il reste une semaine pour traiter avant les premières pontes. Ces informations sont relayées par les bulletins techniques locaux pour un bon positionnement des traitements.

En plein développement, la larve de la mouche méditerranéenne mesure de 7 à 8 mm de long. De couleur blanche, elle présente des crochets buccaux noirâtres. Une fois son développement terminé, elle quitte le fruit et se nymphose dans le sol.

Carte d'identité de la mouche de l'olivier

La mouche de l’olive, Bactrocera (Dacus) oleae, est le principal ravageur de l’olivier. Cet insecte peut causer des dégâts très importants, jusqu’à 100% d’olives dépréciées et inutilisables. La mouche de l’olive fait partie de l’ordre des Diptères, de la famille des Tephritidae. Dans cette famille, on retrouve d’autres ravageurs des arbres fruitiers : la mouche de la cerise, la mouche méditérranéenne des fruits, la mouche du brou du noyer.

  • Pupe : De couleur crème à brun doré, la pupe (ou nymphe) mesure entre 3 et 4 mm de long sur 2 mm de large.
  • Larve : L’asticot de la mouche de l’olive mesure, à la fin de son développement, jusqu’à 7 mm de long. Il est de couleur blanche.
  • Adulte : La mouche de l’olive adulte mesure 4 à 5 mm de long. La tête est orangée avec des yeux à facettes bleu-vert. Le thorax est noir avec des bandes grisâtres sur le dos, et se termine par un triangle blanc-crème. Les pattes sont orangées. L’abdomen est également orange avec des tâches noires. Les ailes sont transparentes, avec un point noir à leur extrémité́, caractéristique de l’espèce. Le mâle et la femelle ont la même taille. La femelle possède seulement un abdomen un peu plus large et un ovipositeur de ponte à l’extrémité́ de celui-ci.

  • Pontes : La femme pond un œuf par fruit et a une fécondité́ moyenne de 300 à 400 œufs. Après l’accouplement, la femelle va déposer un œuf sous l’épiderme de l’olive.
  • Larves : Quelques jours après la ponte, un asticot éclot et commence à se nourrir de la pulpe de l’olive. En grossissant, cette larve crée des galeries de plus en plus importantes.
  • Pupaison : A la fin de son développement, le ver se transforme en pupe dans l’olive (nymphose). Après une dizaine de jours, un nouvel adulte émerge de la pupe.
    • Pupaison à l’automne : Quand la larve termine son développe- ment et que l’olive devient très mûre, la larve tombe au sol et se pupifie. Cette pupe est assez tolérante au froid (T° minimale létale autour de 0°C) et aux produits de traitements.

Une génération dure entre 25 et 30 jours en été́, depuis la ponte de l’œuf jusqu’à la maturité́ sexuelle des femelles adultes. Cette durée de développement augmente en automne. La mouche de l’olive se développe de manière optimale entre 20 et 30°C. En France, on a de 3 à 5 générations par an entre le début de l’été et le mois d’octobre.

Dégâts quantitatifs : le développement de la larve à l’intérieur de l’olive affecte directement l’alimentation du fruit, sa maturation et sa force d’attachement au pédoncule. Cette situation provoque une chute accélérée de l’olive atteinte.

Dégâts qualitatifs : en mettant la pulpe du fruit au contact de l’air (lors de la sortie de l’adulte) et des déjections de la larve, les attaques de mouche conduisent à une altération de la qualité de l’huile (augmentation des taux d’acidité et de l’indice de peroxyde).

  • Piégeage : il est indispensable pour détecter l’apparition des adultes dans le verger et permettre un positionnement optimal des traitements.
  • Production raisonnée d’olives de table : des traitements préventifs adulticides sont nécessaires dès l’apparition des premières mouches, et à chaque début de vol. Si des dégâts apparaissent et sont supérieurs au seuil, la lutte curative intervient au milieu du vol.
  • Production raisonnée d’olive à huile : consiste à limiter les traitements au strict nécessaire et donc à optimiser au maximum les dates d’application. La technique de lutte repose sur l’alternance des produits et des types de protection (préventif/curatif).
  • Production biologique : elle consiste à appliquer un produit préventif biologique dès l’apparition des premières mouches et en septembre et octobre. La constitution d’une barrière par une application d’argile tous les mois ou dès lessivage est également possible et fortement recommandé sur les variétés et les zones très sensibles. Ces techniques peuvent se coupler avec du piégeage massif dans ou en bordure des oliveraies.

Carte d'identité de la teigne de l'olivier

Tout comme la mouche de l’olivier la teigne est un ravageur qui peut entraîner des pertes de récolte non négligeables.

  • Larve : de couleur beige-verdâtre, la chenille de la teigne mesure 7 mm de long en fin de développement.
  • Adulte : la teigne de l’olivier est un petit papillon gris de 6 mm de long. Ses ailes ont des reflets argentés et une envergure de 13 à 14 mm.

Pontes : Une femelle peut pondre jusqu’à 250 œufs et vit environ une quinzaine de jours.

Larves : La chenille a une durée de développement variable selon la génération (soumise aux conditions climatiques différentes, voir paragraphe « Cycle de vie »). Ainsi, elle se développe pendant environ 3 semaines à 1 mois sur les inflorescences, 1,5 à 2 mois dans l’olive et plusieurs mois pendant l’hiver dans les feuilles.

La teigne de l’olivier vit tout au long de l’année dans l’arbre. Trois générations se succèdent durant l’année, se développant à chaque fois sur un organe différent de l’arbre :

  • Au printemps, la génération anthophage attaque les boutons floraux et les fleurs. Une chenille peut dévorer et détruire entre vingt et trente boutons floraux pour son développement.
  • En été, la génération carpophage effectue une partie de son développement dans l’olive en se nourrissant de l’amandon.
  • En automne/hiver, la génération phyllophage se développe dans les feuilles.

La teigne de l’olivier se développe idéalement à des températures comprises entre 12 et 25°C.

Les dégâts sont surtout provoqués par les chenilles, à leurs différents stades de développement.

  • Première génération : les chenilles se nourrissent des boutons floraux, entrainant des problèmes de fécondation et de nouaison. Les dégâts sont donc observables en février-mars, sur les feuilles minées et les larves présentes à la face inferieure des feuilles.
  • • Deuxième génération : les chenilles se développent à l’intérieur du noyau en se nourrissant de l’amandon. L’émergence des larves âgées s’effectue par un orifice percé au point d’insertion du pédoncule, provoquant une chute massive et prématurée des olives en automne. Cela peut concerner jusqu’à 75% de la production. Les dégâts s’observent à la floraison : inflorescences agglutinées avec des fils de soie fabriqués par la chenille dans lesquels se retrouvent les déjections de la larve sous forme d’agglomérats bruns.
  • • Troisième génération : les chenilles de la teigne creusent des galeries dans les feuilles, entrainant peu de dégâts, sauf quand elles s’attaquent aux extrémités des jeunes pousses. On observe en septembre la chute des fruits au sol. Ceux-ci sont identifiables par un aspect extérieur sans défauts et un trou au niveau du pédoncule.

La stratégie de lutte de base consiste à traiter la première génération au moment de la floraison à partir du seuil de nuisibilité de 10% de feuilles minées.

Les produits phytosanitaires doivent être appliqués sur toute la frondaison des arbres, en fines gouttelettes, en allant jusqu’au point de ruissellement de la bouillie sur le feuillage. Il est nécessaire, évidemment, de bien respecter les doses de produits, indiquées sur les étiquettes des spécialités.

Au printemps, la génération anthophage attaque les boutons floraux et les fleurs. Une chenille peut dévorer et détruire entre vingt et trente boutons floraux pour son développement.

En été, la génération carpophage effectue une partie de son développement dans l’olive en se nourrissant de l’amandon.

En automne/hiver, la génération phyllophage se développe dans les feuilles.

La teigne de l’olivier se développe idéalement à des températures comprises entre 12 et 25°C.

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