Comment bien gérer l'oïdium jusqu'à la fin du cycle ?
La lutte contre l'oïdium ne doit pas s'arrêter au critère "coût du programme"... Une étude menée conjointement par BASF et l’Institut Coopératif du Vin révèle tout l'intérêt d'une stratégie intégrant produits performants et dates d'application.

Traiter avec des produits pas chers n’est pas le plus rentable. Mais on peut traiter moins souvent, en particulier en fin de saison. Et on a trouvé un critère pour savoir dans quel cas on peut arrêter de traiter à la fermeture de la grappe.
L’oïdium de la vigne, maladie fongique causée par Erisyphe necator, entraîne des pertes de récolte et des défauts qualitatifs sur les raisins et les vins. On sait déjà prévoir à la vendange l’incidence de l’oïdium sur la qualité du vin. Mais que faire avant la vendange ? On cherche à réduire les traitements. Quels résultats ont les programmes mis en œuvre sur le terrain ? Existe-t-il des critères pour savoir si l’on peut arrêter un programme sans risque ou s’il faut continuer ?