Protéger les ressources en eau

L’eau est un bien commun précieux, la protéger est une responsabilité collective. Ainsi, pour répondre à des objectifs environnementaux ambitieux, la France s’est dotée d’un cadre réglementaire complet de l’amont à l’aval du cycle de l’eau. Depuis quelques années, les phytosanitaires font partie des paramètres hautement surveillés au même titre que les nitrates, les phosphates, les hydrocarbures, etc.

Au travers d’expertises et de pédagogie, BASF s’engage à promouvoir une amélioration constante de ses produits et de leur utilisation par les agriculteurs. En amont, les produits d’aujourd’hui sont moins persistants et moins impactants sur les milieux. En aval, en concertation avec les filières, BASF lance des démarches de sécurisation logistique et des nouvelles recommandations d’emploi destinées à réduire les risques de transferts.

L’eau potable en France est l’un des aliments les plus surveillés et les plus sûrs au monde. Pour prévenir les risques de contamination des aires d’alimentation des captages, leurs zones les plus sensibles font l’objet de plans de protection spécifiques.

La gestion de l’eau est encadrée par un dispositif réglementaire volontariste porté au niveau national par le ministère de l’écologie et en régions par les comités de bassins des 6 agences de l'eau.

Pour gérer de façon responsable les ressources en eau, il est indispensable de bien connaître le cycle de l’eau et notamment de distinguer eaux de surface et eaux souterraines.

BASF a mis en place une stratégie responsable de l’utilisation de ses molécules phytosanitaires pour améliorer la qualité de l’eau, notamment sur les aires d’alimentation de captage d’eau potable. Une initiative qui s’inscrit au niveau local avec les acteurs du territoire.

Comment lutter contre le ruissellement ?

La prévention des contaminations diffuses des eaux de surface ou des nappes phréatiques liées aux produits phytosanitaires passe par une bonne connaissance des paramètres qui favorisent le transfert par ruissellement.

Pour qu'une action soit pertinente, il est essentiel de réaliser au préalable un diagnostic du parcellaire de son exploitation : nature des sols, réserve utile selon les parcelles, voies de circulation de l’eau, période à risques de transferts…

L’agronomie a une incidence directe sur les capacités du sol à l’infiltration. Techniques culturales simplifiées, résidus de pailles, sens du travail du sol, intercultures, etc. Autant de mesures qui permettent d’éviter la saturation ou le ruissellement concentré et donc le risque de contamination diffuse.

Bandes enherbées, zones tampons, prairies, bosquets : des aménagements qui permettent d’intercepter les ruissellements à l'aval des parcelles et de limiter les risques de transferts vers les cours d'eau.

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